Depuis les années 2010, l’opportunité nouvelle de prescrire une activité physique dans le cadre de dispositifs dédiés, en lien étroit avec les professionnels de santé s’accompagne parallèlement d’un accroissement de la pratique du vélo et de la marche. En dépit de cette croissance, 60% des trajets domicile-travail de moins de 5 km sont encore réalisés en voiture individuelle (Pages & Brutel, 2021). Se posent également d’importants défis en termes de pratique et d’équité : certains publics parmi les plus vulnérables d’un point de vue sanitaire, notamment les malades chroniques, les personnes âgées, les adolescentes et les habitants des quartiers politiques de la ville, seraient également ceux qui pratiquent le moins le vélo au quotidien (SDES, 2021). Dans ce cadre, l’ADMA a souhaité contribuer, par une étude apportant éclairages et recommandations, à la promotion de l’activité physique par le prisme des mobilités actives. Cette étude a été réalisée en collaboration avec les équipes de l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps).
L’étude présente les objectifs suivants :
Elle tend à répondre aux questions suivantes :