📢 Nouvelle publication scientifique ! ➡️ Une étude a mesuré la force musculaire de plus de 53 000 enfants et adolescents français âgés de 6 à 16 ans entre 1999 et 2023. Les résultats montrent une légère baisse de la force musculaire des membres inférieurs (📉 environ -2 cm par décennie), mais une amélioration de la force de préhension (📈 +0.6 kg par décennie). Néanmoins, les résultats révèlent surtout une augmentation des écarts de performances entre les meilleures performances et les plus faibles, reflétant des inégalités croissantes entre les enfants et adolescents 📊. Ces résultats soulignent l’importance des programmes et interventions qui ont pour objectif d’améliorer la force musculaire, en particulier chez les enfants et adolescents ayant une force musculaire faible 💪. Pour retrouver l’étude complète : https://lnkd.in/d8Px6-nv
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Il faut en effet se méfier des chiffres chocs. C'est extrêmement dépendant de la qualité physique considérée, la capacité cardiorespiratoire (par ailleurs le plus souvent évaluée par un test navette qui ne dépend pas seulement des aptitudes aérobies) étant la plus affectée depuis les années 1970. Ceci peut être en partie expliqué par la hausse de l'IMC qui, rappelons-le, ne dépend pas seulement de la masse grasse mais aussi de la masse maigre. Cette dernière a aussi augmentée ces dernières décennies et cela explique pourquoi les capacités de force absolue ont augmenté. Cela dépend aussi de la période. En faisant récemment la littérature pour une conférence, j'ai le sentiment que la chute a été très importante entre 1980 et 2000, un peu moins depuis (notamment depuis 2010, confinement mis à part). Il n'en reste pas moins que si ça se stabilise, c'est à un niveau faible qu'il convient de corriger de toutes les manières possibles. Mais si la prévention était un sujet dans ce pays, ça se saurait 🤔 .
📢 Nouvelle publication scientifique ! ➡️ Une étude a mesuré la force musculaire de plus de 53 000 enfants et adolescents français âgés de 6 à 16 ans entre 1999 et 2023. Les résultats montrent une légère baisse de la force musculaire des membres inférieurs (📉 environ -2 cm par décennie), mais une amélioration de la force de préhension (📈 +0.6 kg par décennie). Néanmoins, les résultats révèlent surtout une augmentation des écarts de performances entre les meilleures performances et les plus faibles, reflétant des inégalités croissantes entre les enfants et adolescents 📊. Ces résultats soulignent l’importance des programmes et interventions qui ont pour objectif d’améliorer la force musculaire, en particulier chez les enfants et adolescents ayant une force musculaire faible 💪. Pour retrouver l’étude complète : https://lnkd.in/d8Px6-nv
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La légende urbaine affirmant que les jeunes ont perdu 25% de leur capacité physique en 40 ans (étude de Tomkinson basée sur un seul test de 600m) est à nuancer par d’autres études longitudinales. Néanmoins, à défaut d’obtenir davantage de moyens pour l’EPS, les clubs sportifs et les installations, elle aura au moins permis de réveiller les consciences! La récente publication de l’étude promue par l’ONAPS démontre que la baisse est moins importante et qu’il est nécessaire d’évaluer les capacités physiques à partir de différents test validés et non l’englober sous une appellation générique. De plus, les résultats des études étant généralement corrélés au gradient social reflétant une mauvaise littératie physique, cela questionne les politiques de réduction des inégalités sociales d’accès à la pratique physique. Christèle Gautier Jérémy Vanhelst THIBAULT DESCHAMPS Daniel Mercier Zekya Ulmer Guillaume Millet Régis JUANICO Aurelie GONCALVES François BELLANGER Patrick Roult Patrick Bayeux Cyril CLOUP Benoît Maury Marc de Singly Thierry Fauchard, M.Sc. Marine Tanguy
📢 Nouvelle publication scientifique ! ➡️ Une étude a mesuré la force musculaire de plus de 53 000 enfants et adolescents français âgés de 6 à 16 ans entre 1999 et 2023. Les résultats montrent une légère baisse de la force musculaire des membres inférieurs (📉 environ -2 cm par décennie), mais une amélioration de la force de préhension (📈 +0.6 kg par décennie). Néanmoins, les résultats révèlent surtout une augmentation des écarts de performances entre les meilleures performances et les plus faibles, reflétant des inégalités croissantes entre les enfants et adolescents 📊. Ces résultats soulignent l’importance des programmes et interventions qui ont pour objectif d’améliorer la force musculaire, en particulier chez les enfants et adolescents ayant une force musculaire faible 💪. Pour retrouver l’étude complète : https://lnkd.in/d8Px6-nv
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💥 Nouvelle publication 👌 Récemment, nous avions évoqué l’importance de l’endurance cardiorespiratoire pour la santé de l’enfant et de son impact sur sa santé future, ainsi que son évolution au cours des 20 dernières années (https://lnkd.in/dCZ6x-Mx). Aujourd'hui, il s'agit d'un travail sur la force musculaire, une autre composante de la condition physique, qui est également un marqueur de la santé, dès le plus jeune âge! ❓ Pourquoi évaluer l'évolution de la force musculaire chez l'enfant? 👉 Comme la force musculaire constitue un indicateur essentiel en matière de santé publique, les tendances temporelles révèlent probablement l'état général de santé de nos jeunes français. Elles permettent également d'évaluer l'efficacité des recommandations en santé publique ainsi que des programmes et initiatives liés à la promotion de l'activité physique. ❓ Quels résultats? Notre étude s’appuie sur plus de 53 000 enfants et adolescents français âgés de 6 à 16 ans entre 1999 et 2023. Les résultats montrent une légère baisse de la force musculaire des membres inférieurs évaluée par le test du saut en longueur sans élan (environ - 2 cm par décennie), mais une amélioration de la force de préhension évaluée par le test du handgrip (+0,6 kg par décennie). ⚡ Toutefois, notre travail a également constaté une augmentation des écarts de performances entre les meilleurs et les moins bons élèves, reflétant des inégalités croissantes. Plus d'infos, ci-dessous 👇 . 🙋♂️ 🙋♀️ Envie de lire le full text, n'hésitez pas à me contacter! THIBAULT DESCHAMPSHervé OvigneurFrançois CarréInstitut des Rencontres de la Forme (IRFO)Laurent BEGHINDavid MatelotGrégory CzaplickiZekya UlmerJean-Michel Oppert
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💡 Rôles du GABA dans le diabète de type 1 🎯 Quels effets périphériques en dehors du cerveau de ce neurotransmetteur inhibiteur ? ➡️ concentration du GABA dans les cellules béta pancréatiques 👉régulation de l’insuline et inhibition du glucagon (effets autocrine et paracrine) ➡️ homéostasie immunitaire (interactions microbiome -GALT) 🎯 Plusieurs mécanismes protecteurs vis à vis du diabète de type 1 ➡️ Renouvellement et survie des cellules béta du pancréas >> activation de voies de signalisation de régénération cellulaire >> réduction du stress oxydant (SIRT1-Klotho) >> conversion des cellules alpha en béta (modèles animaux) ➡️ anti-inflammatoire >> diminution du recrutement des lymphocytes auto-réactifs et de la production de cytokines inflammatoires (TNF alpha, IFN gamma, IL12) >> régulation des Treg (expression FOXP3) 🎯 Quelles données précliniques et cliniques associées à une supplémentation GABA ? 👉 Modèles de souris diabétiques ➡️ prévention des inflammations des ilots de Langerhans et inversion de l’hyperglycémie 👉 Jeunes enfants diagnostiqués diabète de type 1 (étude randomisée, supplémentation GABA seul ou combiné à l’immunothérapie) ➡️ immunomodulation (baisse des cytokines inflammatoires et augmentation de FOXP3) ➡️ diminution des niveaux de glucagon (groupe combiné) Référence : https://lnkd.in/efb7R8vJ 🎯 Sources naturelles de GABA : alimentaires (fromages fermentés, tomates, pommes de terre…) , mais surtout microbiotique (bifidobactéries et lactobacilles) 👉 travailler sur l’axe intestin-pancréas en favorisant un microbiote producteur de GABA https://lnkd.in/e6RUCxjv 💡 Synergie gemmothérapie : ➡️ Macérat de Noyer : vitalité pancréatique ➡️ Macérar de Vigne rouge: régulation de l’auto-immunité Ce post ne saurait se substituer à un avis médical et les conseils de professionnels de la santé naturelle #naturopedagogie #naturopédagogie #naturopathie #santenaturelle #nutraceutique #micronutrition #santeintegrative #energeticanatura #pharmacien
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✨ 𝗨𝗻𝗲 𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝟯𝟬 𝗮𝗻𝘀 𝗿𝗲́𝘃𝗲̀𝗹𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗲𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗯𝗶𝗼𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝘁 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗱𝗶𝗼𝘃𝗮𝘀𝗰𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 ✨ Une étude menée sur 𝟮𝟳 𝟵𝟯𝟵 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 met en lumière l'importance de trois biomarqueurs sanguins (𝗖𝗥𝗣 𝘂𝗹𝘁𝗿𝗮𝘀𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲, 𝗟𝗗𝗟-𝗖 𝗲𝘁 𝗟𝗽(𝗮)) dans la prédiction des risques cardiovasculaires sur une période exceptionnellement longue de 30 ans. 🩸🔬 🔍 𝗠𝗲́𝘁𝗵𝗼𝗱𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 : 𝗣𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹'𝗲́𝘁𝘂𝗱𝗲 : 27 939 femmes américaines initialement en bonne santé, recrutées dans le cadre de la Women's Health Study (WHS) entre 1992 et 1995. 𝗦𝘂𝗶𝘃𝗶 : Jusqu'à 30 ans pour évaluer les premiers incidents cardiovasculaires majeurs (infarctus, AVC, revascularisation coronarienne et décès d'origine cardiovasculaire). 𝗔𝗻𝗮𝗹𝘆𝘀𝗲 𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝘀𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 : Modèles de risques proportionnels de Cox, ajustés pour l'âge, les facteurs de risque (diabète, tabagisme, pression artérielle) et les interactions entre biomarqueurs. 📊 𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 𝗰𝗹𝗲́𝘀 : Les quintiles les plus élevés de chaque biomarqueur sont associés à une augmentation significative des risques : ● 𝗖𝗥𝗣𝘂𝘀 : +70 % de risque d'événement cardiovasculaire majeur dans le quintile supérieur par rapport au quintile inférieur. ● 𝗟𝗗𝗟-𝗖: +36 % de risque. ● 𝗟𝗽(𝗮) : +33 % de risque. L'analyse combinée montre que les patientes ayant des niveaux élevés des trois biomarqueurs (5ème quintile) présentent un risque multiplié par 2,6 par rapport à celles avec des niveaux faibles. 🌟 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁 : Bien que le lien entre le LDL-C et le risque cardiovasculaire soit bien établi, 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗳𝗳𝗲𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗶𝗻𝗳𝗹𝗮𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 (mesurés par la CRPus et la Lp(a) 𝗺𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝗰𝗰𝗿𝘂𝗲. 𝗜𝗻𝗳𝗹𝗮𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝗵𝘀𝗖𝗥𝗣 : Ce marqueur bien connu de l'inflammation met en lumière le rôle crucial de l'activation immunitaire dans le développement de l'athérosclérose. 𝗟𝗽(𝗮) : La lipoprotéine(a) ressemble structurellement au LDL-C mais possède, en plus de cette dernière, une molécule d'apolipoprotéine(a) : 𝗘𝗳𝗳𝗲𝘁𝘀 𝗮𝘁𝗵𝗲́𝗿𝗼𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : Favorise l'accumulation de cholestérol dans la paroi artérielle, ce qui déclenche une inflammation locale et systémique via des lipides oxydés pro-inflammatoires. 𝗘𝗳𝗳𝗲𝘁𝘀 𝘁𝗵𝗿𝗼𝗺𝗯𝗼𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : La structure de l'apolipoprotéine(a), similaire à celle du plasminogène, interfère avec la formation de plasmine (enzyme responsable de la dissolution des caillots sanguins), augmentant ainsi le risque de thrombose. 💡 Ces mécanismes complexes soulignent l'intérêt d'intégrer ces biomarqueurs dans les stratégies de prévention cardiovasculaire, au-delà du simple contrôle des niveaux de LDL-C. 💡 Retrouvez cet article du New England Journal of Medicine ici : https://lnkd.in/eVdKq4Kt
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🚨 Article éclairant de Juliette Dunglas dans Le Quotidien du Médecin: le rôle des aliments ultratransformés dans le #cancer colorectal se précise 🍔 🍟 🥤 ... 👀 C’est en nourrissant l’inflammation que les aliments ultratransformés joueraient un rôle dans la tumorogenèse du #cancer colorectal ⚠️. 👩🔬 Quel est le lien entre la survenue d’un cancer colorectal et le régime de type « occidental », caractérisé par la consommation d’aliments ultratransformés #AUT et de mauvaises graisses ? Des chercheurs américains ont décrit précisément un état inflammatoire chronique pouvant mener à la tumorogenèse. Leurs résultats, publiés dans la revue Gut from BMJ, montrent que c’est en nourrissant l’inflammation que l’alimentation ultratransformée serait impliquée dans l’apparition et la progression du cancer colorectal 😵💫. 👩⚕️ L’association entre #AUT et risque de #cancers avait été pointée du doigt dans plusieurs études, comme celle de Nutrinet-santé ou encore celle menée par le CIRC - Centre international de Recherche sur le Cancer / Organisation mondiale de la santé publiée dans The Lancet Regional Health Europe. Au-delà d’avoir mis en évidence un surrisque de cancer et de multimorbidité cardiométabolique associé aux AUT, cette dernière étude a aussi montré que remplacer la consommation de 10 % d’aliments transformés et ultratransformés par une quantité équivalente de produits frais diminuait le risque de plusieurs cancers (ORL, côlon, foie) 📉. 👩💻 Les résultats de l'étude invitent à penser à des prises en charge « naturelles » préventives, argumentant de « l’effet considérable du système immunitaire sur le micro-environnement tumoral ». Il s’agirait ainsi d’inverser l’inflammation « en utilisant des aliments sains et non transformés, riches en acides gras oméga-3 et en dérivés de l'huile de poisson 🐟 appelés “médiateurs pro-résolution spécialisés”, pour restaurer les mécanismes de guérison du corps, ainsi qu'un sommeil équilibré 😴 et de l'exercice physique 🤸 », détaillent-ils. Les auteurs citent de premiers essais utilisant des dérivés d'huile de poisson pour traiter l'inflammation. Selon une récente étude publiée dans Journal of Nutrition, les #AUT représenteraient plus de la moitié des calories consommées au domicile par un adulte américain 📊. ⏰ Urgence de favoriser une meilleure alimentation pour stopper l'épidémie de maladie chronique! Lien vers l'article en commentaire 👇 #malbouffe #santé #prévention #fiersdeprotéger
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Stop! Arrête de t'emballer! Si tu as une maladie auto-immune, tu dois connaître l'andrographis. Cette plante millénaire pourrait devenir ton alliée face à l’auto-immunité. Originaire d’Asie, l’andrographis est utilisée depuis des siècles par les Hommes. La science confirme ses bienfaits dans les maladies auto-immunes. Hier, je te parlais de maladies comme la spondylarthrite ankylosante, où l’immunité s’emballe, et attaque le corps. L’andrographis, surnommée "l’échinacée de l’Inde", offre des réponses naturelles, et validées par des études scientifiques à certaines de tes questions. Que peut faire l’andrographis pour toi ? Une action anti-inflammatoire incroyable: Elle réduit les cytokines responsables de l’inflammation chronique. Dans des maladies comme la polyarthrite rhumatoïde, elle peut calmer les douleurs articulaires et musculaires. Une étude publiée dans Frontiers in Pharmacology (2017) a démontré son efficacité pour réduire l’inflammation dans des modèles d’arthrite. Elle équilibre l’immunité sans l’affaiblir: L’andrographis module les réponses immunitaires, ce qui est essentiel dans les maladies auto-immunes, où l’immunité doit être rééquilibrée. Phytotherapy Research (2020) met en avant son rôle dans la régulation des lymphocytes T, impliqués dans ces pathologies. Un soutien pour le microbiote intestinal: Elle protège l’intestin, et aide à rétablir une barrière intestinale saine, essentielle pour l’immunité. Journal of Ethnopharmacology (2018) a montré qu’elle améliore la santé intestinale, et réduit l’inflammation systémique. Une alliée dans les douleurs chroniques: Les douleurs inflammatoires, fréquentes dans la spondylarthrite ou la polyarthrite, peuvent être atténuées par cette plante. Attention! Le naturel n'est pas bon pour tout le monde! ⚠️ L’andrographis est puissante, et nécessite une utilisation adaptée. Déconseillée aux femmes enceintes, ou allaitantes. Peut interagir avec des traitements (immunosuppresseurs, anticoagulants). Tu veux intégrer des approches naturelles dans la gestion des maladies auto-immunes ? Contacte-moi en DM. Et toi, connais-tu cette plante ?
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CANCER de la PROSTATE : Des aliments végétaux contre sa progression Oui, l’alimentation, et ses anti-oxydants, pourraient jouer un rôle clé dans la prévention et la réduction de la progression du cancer de la prostate. C’est la démonstration de cette équipe de cancérologues et nutritionnistes de différents instituts de recherche américains, dont l’Université de Californie, San Francisco (UCSF). L’étude, publiée dans le JAMA Network Open, confirme en effet qu’une consommation plus élevée d'aliments végétaux après un diagnostic de cancer de la prostate est associée à un risque plus faible de progression du cancer. L’étude de cohorte a suivi pendant en moyenne 6 ans, 2.062 patients diagnostiqués par biopsie avec un cancer de la prostate non métastatique (stade ≤ T3a). Les participants ont renseigné par questionnaire l’alimentation et le mode de vie, entre 2004 et 2016. Les données ont été analysées d’août 2022 à avril 2023. L’analyse révèle que : - au cours du suivi médian de 6,5 ans, 190 cas de progression et 61 décès spécifiquement liés au cancer de la prostate ont été recensés ; - les participants qui consommaient le plus d'aliments végétaux sont ceux qui présentent le risque le plus faible de progression du cancer de la prostate. - précisément, les hommes se situant dans le quintile le plus élevé par rapport au quintile le plus bas de la consommation de d'aliments végétaux bénéficient d’une réduction de 47 % du risque de progression de leur cancer ; - la baisse du risque de progression apparaît dose-dépendante de la consommation d’aliments végétaux. Ainsi, une consommation plus élevée d'aliments végétaux après un diagnostic de cancer de la prostate apparaît associée à un risque plus faible de progression du cancer. Ces résultats suggèrent l’intérêt d’une évaluation et de conseils nutritionnels aux patients atteints d'un cancer de la prostate pour les aider à établir des pratiques alimentaires saines, améliorer leur pronostic et favoriser leur bien-être et leur santé globale. #consommation #aliments #végétaux #cancer #prostate #risque #faible #progression #cancer
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L'Adaptation Humaine au Jeûne Prolongé : Une Exploration Profonde des Mécanismes Systémiques Le jeûne prolongé, une pratique ancestrale et moderne ancrée dans les rituels religieux, les traitements médicaux et les stratégies de gestion du poids, a façonné l'évolution humaine de manière insoupçonnée. Bien que le jeûne ait été pratiqué par des milliards d'individus à travers l’histoire, notre compréhension des adaptations systémiques à la restriction calorique extrême demeure limitée. Pourtant, les recherches récentes révèlent une complexité fascinante dans la réponse de l'organisme humain aux privations alimentaires prolongées. Une étude menée sur 12 volontaires (5 femmes, 7 hommes), soumises à un jeûne hydrique de 7 jours, montre une perte de poids moyenne de 5,7 kg, accompagnée de changements protéomiques significatifs. Cette analyse détaillée de près de 3 000 protéines plasmatiques révèle neuf profils distincts de réponse, avec des adaptations systémiques perceptibles seulement après 3 jours de restriction calorique totale. Ces adaptations, observées de manière homogène parmi les participants, mettent en lumière la réponse multi-organes et l'impact profond du jeûne prolongé, non seulement sur le métabolisme, mais aussi sur des processus biologiques plus subtils. Les résultats suggèrent une réponse biologique qui va bien au-delà de la simple gestion de l’énergie. En effet, les protéines de la matrice extracellulaire, en particulier celles spécifiques au cerveau, connaissent des changements extrêmes, ce qui indique des adaptations non métaboliques majeures. Un exemple frappant de cette transformation est l'altération de la protéine tenascine-R, une molécule clé dans la matrice extracellulaire cérébrale, qui suggère des ajustements dans la structure et la fonction du système nerveux. À travers des approches protéogénomiques, les chercheurs ont pu estimer les conséquences pour la santé de 212 protéines modifiées pendant le jeûne, en évaluant près de 500 résultats potentiels. Cette analyse met en lumière à la fois des effets bénéfiques possibles — tels que l'association de SWAP70 avec l'arthrite rhumatoïde ou de HYOU1 avec les maladies cardiaques — et des risques indésirables, mettant ainsi en garde contre une vision trop simpliste du jeûne comme un simple outil de perte de poids. Cette étude marque un tournant dans notre compréhension du jeûne prolongé. En dépassant l’approche purement énergétique, elle ouvre la voie à une vision plus systémique, où les réponses adaptatives couvrent des aspects variés, depuis la structure cellulaire jusqu’aux fonctions organiques profondes. Cela pourrait, à terme, permettre une modulation thérapeutique ciblée et éclairée de ces processus adaptatifs, tout en nous aidant à mieux comprendre les limites et les bénéfices potentiels de ces pratiques ancestrales dans le contexte de la santé moderne. https://lnkd.in/dtcNFadb
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🔬 Une étude publiée dans npj Metabolic Health and Disease explore une question cruciale : Interventions longévité égales à tout âge ? Points majeurs : 1️⃣ Les approches basées sur le stress métabolique (jeûne intermittent, métformin, exercice intense) perdent de leur efficacité chez les personnes âgées, notamment en raison d’une plasticité mitochondriale déclinante. 2️⃣ Les traitements qui ciblent directement la préservation énergétique (boosters de NAD+, rapamycine, inhibition de la biogénèse ribosomale) semblent transcender cette limite d’âge et restent efficaces, même chez les individus plus âgés. 💡 Si les interventions basées sur l’adaptation sont limitées par l’âge, devons-nous repenser nos protocoles ? Les approches comme le jeûne intermittent ou l’exercice à haute intensité, souvent considérées comme des piliers de la longévité, sont-elles adaptées à une population vieillissante ? Ce que la science propose: Voici les deux grandes catégories d’interventions étudiées : 1️⃣ Stress métabolique pour les jeunes et d’âge moyen : Ces interventions exploitent la capacité du corps à s’adapter aux perturbations : - Jeûne intermittent et diètes restrictives : Augmentent la plasticité mitochondriale, favorisent l’autophagie. - Exercice intense (HIIT, endurance) : Stimule la biogénèse mitochondriale et améliore la capacité métabolique. - Mimétiques de restriction calorique (métformin, spermidine) : Répliquent les effets cellulaires du jeûne. ⚠️ Limite : Ces interventions dépendent fortement de mitochondries fonctionnelles et perdent en efficacité avec l’âge. 2️⃣ Protection métabolique pour les seniors : Pour les personnes plus âgées, il faut cibler des mécanismes directs : - Boosters de NAD+ (NAD, NR, NMN) : Augmentent la production d’énergie et la réparation mitochondriale. - Rapamycine et inhibiteurs de mTOR : Réduisent la consommation énergétique excessive et stimulent l’autophagie. - Inhibiteurs de la biogénèse ribosomale : Libèrent de l’ATP pour la réparation cellulaire en diminuant les processus énergivores. ✅ Avantage : Ces approches ciblent directement les déficits liés à l’âge sans nécessiter d’adaptations métaboliques intermédiaires. Questionnements scientifiques 🤔 Ce que cette étude ne dit pas clairement : 1️⃣ Peut-on combiner ces deux catégories d’interventions (stress métabolique et protection) pour maximiser les bénéfices à tout âge ? 2️⃣ Les limites mitochondriales observées chez les organismes modèles (comme C. elegans) sont-elles directement transposables à l’homme ? 3️⃣ Quels biomarqueurs précis permettent de prédire la réponse individuelle à une intervention ? NAD+ ? Plasticité mitochondriale mesurée par des tests d’effort ou des biopsies musculaires ? 4️⃣ Faut-il systématiquement privilégier des traitements comme la rapamycine ou les NAD+ boosters chez les plus de 60 ans, au détriment du jeûne intermittent ou de l’exercice intense ? -> Besoin urgent de personnalisation !
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Médecin généraliste
2moPaul Texier