📢 Nouveau rapport concernant la place des enfants dans l’espace public et la nature 🌳! Le Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge HCFEA alerte sur le fait que les enfants et les adolescents ne sortent pas assez, ce qui peut avoir des conséquences sur leur santé, physique et mentale, ainsi que sur leur éducation. En effet, parmi les enjeux soulevés évoqués, le rapport fait état d’un faible investissement de l’activité physique par les enfants et les adolescents, et d’activités pratiquées hors du temps scolaire, qui sont essentiellement des activités d’intérieur et sédentaires 💻. Face à ce constat, le HCFEA préconise de permettre à tous les enfants et adolescents de reprendre les chemins du dehors, en s’appuyant sur une pédagogie de l’ouverture ainsi que sur des espaces publics animés et aménagés pour favoriser les déambulations, les circulations multimodales et la végétalisation 💪🏼! Lien pour l’infographie synthétisant les résultats du rapport : https://lnkd.in/dfiyRtht Lien pour le rapport : https://lnkd.in/dRqAqknP
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#SYNTHÈSE 🧭 RAPPORT « LA SANTÉ ET LE DÉVELOPPEMENT DES ENFANTS MONTRÉALAIS » (partie 1) — La directrice régionale de santé publique de Montréal, Dre Mylène Drouin, a publié la semaine dernière un nouveau rapport qui permet d'identifier les enjeux prioritaires pour les enfants de la métropole et leurs familles; les données et les constats sont éloquents. Voici quelques faits saillants en lien avec le mode de vie physiquement actif 👇 Les partenaires du réseau de Montréal physiquement active travaillent activement à renverser ces tendances ! 💪 QUELQUES DONNÉES ⚽ 60 % des enfants montréalais de la maternelle sont très peu ou pas actifs du tout (proportion plus élevée que dans le reste du Québec) / 67 % parmi les enfants qui résident dans un milieu plus défavorisé, comparativement à 55 % dans un milieu plus favorisé (2022). 🏀 65 % des jeunes de 6e année n’atteignaient pas une heure d’activité physique modérée ou intense / 69 % chez les jeunes de milieux défavorisés vs 58 % chez ceux de milieux plus nantis (2017). 🚸 35 % des enfants montréalais de 5 à 12 ans se rendent à l’école en transport actif (marche ou vélo) / 46 % sans les quartiers centraux vs 20 % aux extrémités est et ouest de l'île (2018). 🌳 47 % des familles montréalaises ont fréquenté un parc public ou un espace vert sur une base hebdomadaire (vs 42 % au Québec). 🐳 22 % des familles ont fréquenté une piscine, une pataugeoire ou des jeux d’eau publics sur une base hebdomadaire (vs 19 % au Québec). ☃️ 73 % des parents montréalais ont rapporté que leur famille jouait dehors au moins une fois par jour l’été, tandis que cette proportion n’est que de 29 % en hiver. Cette dernière statistique est tirée d'un projet de recherche co-porté par la DRSP et Montréal physiquement active dont les résultats seront dévoilés le 19 novembre prochain. Pour vous inscrire 👉 https://lnkd.in/enSaNTiV QUELQUES CONSTATS 🔸 Certains quartiers cumulent plusieurs facteurs de risque pour les enfants. Par exemple, des iniquités territoriales sont observées à l’égard de la sécurité routière, de l’accès aux parcs et au transport collectif. 🔸 [...] on observe plutôt une baisse de l’utilisation du transport actif chez les enfants pour se rendre à l’école. 🔸 La proportion d’enfants utilisant la marche ou le vélo pour se rendre à l’école est plus importante dans les quartiers bénéficiant d’aménagements piétonniers et cyclables sécuritaires et de qualité [...]. 🔸 Des données spécifiques à la petite enfance et aux enfants fréquentant l’école primaire seraient très utiles pour suivre l’activité physique par groupe d’âge. Pour consulter le rapport en entier 👉 https://lnkd.in/egG47gJ4 CIUSSS du Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal
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Des patients hospitalisés dont la fenêtre de la chambre donne sur une vue naturelle passent moins de temps à l’hôpital et consomment moins d’analgésiques que les patients dont la fenêtre donne sur un mur de briques. L’effet restaurateur du spectacle de la nature et de l’immersion dans un espace naturel n’est plus à démontrer. Il s’explique à la fois par la combinaison de quatre processus : - La fascination douce d’une attention qui se réalise sans effort de façon fluide - Le sentiment d’éloignement par rapport aux préoccupations quotidiennes - L’impression d’étendue que produit l’immersion dans un ensemble vaste - Le sentiment d’être en harmonie avec ses besoins Le silence, la solitude et l’immersion dans une nature apaisante font incontestablement du bien au corps et à l’esprit. Et pourtant... pourtant, un homme occidental passe désormais 90% de son temps en intérieur et pour 60% d’entre eux à l’intérieur d’une maison qui se trouve elle-même en zone urbanisée. En outre, plus préoccupant encore, une étude du Guardian révèle que trois quart des enfants passent moins d’une heure par jour dehors... ce qui est inférieur au temps extérieur alloué aux détenus dans une prison. Cette rupture avec le monde vivant a, sur le plan de la santé mentale des enfants et des adolescents, des effets désastreux tant du point de vue de la récupération du stress que de celui de l’épuisement attentionnel C'est pour cela qu'il faut de toute urgence développer des formes d’éco-pédagogie active qui se préoccupent de rétablir une interaction véritable des enfants avec la nature à travers des programmes réguliers et structurés qui mettent l’immersion dans la nature et la connexion avec le vivant au cœur des apprentissages essentiels.
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📢 Santé des enfants : une responsabilité collective Le récent rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge (HCFEA) met en lumière une réalité préoccupante : la diminution de la présence des enfants dans les espaces publics et naturels. Cette tendance, influencée par l'essor des loisirs numériques, des préoccupations sécuritaires croissantes et les répercussions de la crise sanitaire, a des conséquences notables sur le développement physique, mental et social des plus jeunes. Cette situation illustre parfaitement que la santé des populations et la prévention sont des enjeux transversaux, touchant divers domaines de notre société. C'est pourquoi, lors de l'élaboration de politiques de prévention santé, il est essentiel d'impliquer l'ensemble des acteurs et services concernés et qu'eux en retour se sentent concerné par ce sujet. La santé est l'affaire de tous, et une approche collaborative est indispensable pour créer des environnements favorables au bien-être de nos enfants, et des populations en général. https://lnkd.in/ea5y_eu3
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📢 Améliorer la pratique des activités physiques et lutter contre la sédentarité chez les jeunes à l’école: une priorité de santé publique 🏫! Le nouveau rapport de l'Académie nationale de médecine souligne l'importance d'une activité physique accrue et d'une réduction de la sédentarité pour nos enfants et adolescents 💟. En France, le manque d'activité physique affecte plus particulièrement les filles et les élèves des zones défavorisées 🗺, augmentant les risques d'obésité et de maladies cardio-métaboliques. 🔹 Les recommandations principales de ce rapport sont : - Renforcer la place de l'EPS, avec une attention particulière pour les jeunes filles et les enfants en situation de handicap 🤸🏻♂️. - Sensibiliser tous les enseignants à la lutte contre la sédentarité 💻. - Impliquer les parents pour encourager les déplacements actifs vers l'école 🚴🏻♀️. Agissons ensemble pour encourager une jeunesse en meilleure santé ! 💪👟 Pour retrouver l’intégralité du rapport, c’est ici: https://lnkd.in/df7tehsY
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Voilà une question de #santépublique à laquelle cet article répond : Les enfants de 2024 sont ils en forme ?
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Le grand #enfermement, un enjeu de #santé publique : le rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge, "Quelle place pour les enfants dans les espaces publics et la nature ? Education, santé, environnement" pointe la sédentarité des #enfants et #adolescent·es, leur "désinvestissement des espaces publics au profit d’espaces clos et privés" et le "déclin du contact direct, régulier et prolongé" avec l’extérieur. "Sont documentés successivement l'augmentation de la #sédentarité des enfants au risque de leur santé et de leur équilibre, l'impact des #inégalités sociales, genrées et territoriales sur l'accès au #dehors, les dangers du dehors, les #pollutions atmosphériques et sonores qui dégradent l'environnement dans lequel les enfants grandissent. Il propose aussi les chemins d'une #éducation hors les murs, et l'#aménagement des espaces, pour ouvrir la ville et la nature aux enfants et aux adolescents. Le Conseil de l'enfance et de l'adolescence formule un ensemble de propositions d'amélioration, d'accélération et de mises en œuvre plus ambitieuses qui toutes visent à renforcer un principe central, celui de l'inclusivité du dehors : un accès à l'extérieur et à la nature inconditionnel des enfants et des adolescents pour réduire leur #isolement dans le #virtuel, déjouer les peurs et renouer la confiance en les autres, la société et la nature donc le futur". C'est assez contre-intuitif comme notion "l'inclusivité du dehors", vous ne trouvez pas? https://lnkd.in/eJxvTa5r France Strategie 📸 "Greenhouse", Kyle Thompson
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Résumé d'un article de CP . .et X.Bigard de l'académie de médecine : En France, la pratique de l’activité physique par les enfants et adolescents est nettement insuffisante, alors que leur niveau de sédentarité ne fait que s’aggraver. Le manque d’activité physique va croissant avec l’avancée en âge. Seuls 20 % des garçons et 10 % jeunes filles en situation de handicap atteignent les recommandations en activité physique émises par l’OMS. La sédentarité, autre comportement à risque pour la santé, affecte tout particulièrement les enfants et adolescents qui passent en moyenne 3 à 4h30 par jour devant un écran. Les états d’inactivité et de sédentarité des enfants et adolescents français constituent des environnements à risque de surpoids, obésité, maladies cardio-métaboliques à court- ou long-terme, affectant ainsi le bien-être, la qualité de vie et la santé à l’âge adulte. . Modifier les comportements des jeunes afin d’augmenter le niveau d’activité physique et réduire leur sédentarité est donc plus que jamais une priorité de santé publique. Même si le rôle des parents est fondamental, l’école et l’environnement périscolaire tiennent une place importante pour changer le comportement des enfants et adolescents. C’est pourquoi l’Académie nationale de médecine recommande de pérenniser les mesures déjà mises en place, renforcer la place de l’EPS (en accordant une attention toute particulière aux jeunes filles, enfants en surpoids ou obèses), sensibiliser tous les enseignants à la lutte contre la sédentarité, impliquer les parents pour promouvoir les déplacements actifs vers l’école. Enfin, une attention toute particulière doit être portée sur la mise en place de programmes d’activité physique adaptés pour les enfants et adolescents en situation de handicap. Avec les associations Okami Sports et Institut des Pratiques Corporelles Inclusives, nous portons haut et fort le combat à travers nos programmes Je Bouge Donc j'Apprends pour les primaires, C.A.R.E. pour les publics senior et en situation de handicap, Deviens Qui Tu Es, pour les publics défavorisés. #eps #EAPA #èducateursportif#promotionsante#education#luttesedentarite #sportbienetre#sportsante
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[Education] Quelle place pour les enfants dans les espaces publics et la nature ? Dans un nouveau rapport de 252 pages, le Haut conseil recommande "d'ouvrir la ville aux enfants" et recense les bonnes pratiques de villes qui se mettent à hauteur d'enfant. Il recommande de développer parcs et promenades, de favoriser les mobilités douces, de végétaliser les cours d'école, d'aménager des "rues scolaires" fermées à la circulation automobile et végétalisées, ou encore de faire en sorte qu'un espace vert soit accessible pour tous à moins d'un quart d'heure à pied. En effet, autrefois, "la présence non supervisée des enfants dans les espaces publics était perçue comme allant de soi", aujourd'hui, l'espace extérieur est perçu comme risqué pour les enfants. Cette "culture de la chambre" a des incidences fortes sur la santé mentale et physique des jeunes. Lire le rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge HCFEA : https://lnkd.in/egundJV7 #education #nature #classeDehors #jeunes #generation #ecoanxiete
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⚠ 77% des jeunes de 18- 25 ans restent assis plus de 2h d'affilée dans une journée sans se lever. Une immobilité qui n’est pas contrebalancée par une pratique sportive régulière (33 % d’entre eux déclarent ne pas pratiquer de sport au moins une fois par semaine) et probablement renforcée par une dépendance aux écrans. 👉 Les principaux obstacles à l’activité physique : le manque de temps et la fatigue du fait du travail pour près de 45 % des répondants à l'étude de la Fondation APRIL - BVA Xsight - Uptowns. Seuls 19 % indiquent un manque de volonté, et 7 % des problèmes de santé (douleurs chroniques, blessures). 💡 La Fondation APRIL met en lumière les risques liés à la sédentarité et au manque d’activité physique chez les jeunes adultes alors que l’activité physique est l’une des formes les plus importantes de prévention santé (surpoids, maladies cardiovasculaire, maladies chroniques...). Alors que va bientôt s’ouvrir une importante page de l’actualité sportive avec les Jeux Olympiques, on aurait tort de croire que la pratique d’une activité physique régulière est une réalité en France. Découvrir les résultats complets de l’enquête https://lnkd.in/dd588x3M #santé #prévention #jeunes #activitéphysique #sport #JO
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{Un rapport alarmant : l'inactivité physique des jeunes en France} Dans son rapport intitulé "Améliorer la pratique des activités physiques, du #sport et réduire la sédentarité à l’#école : un enjeu de santé publique" adopté le 17 septembre 2024, l’Académie nationale de médecine fait état de chiffres préoccupants. En France, seuls 50,7 % des garçons et 33,3 % des filles âgés de 6 à 17 ans respectent les recommandations de l'OMS, qui préconisent au moins 60 minutes d'activité physique modérée à intense par jour. 3 Chiffres clés du rapport : - 3 à 4 heures : temps moyen passé chaque jour devant un écran par les enfants et adolescents. - Seulement 16 % des filles de 15 à 17 ans atteignent les recommandations de l'OMS. - 20 % des garçons et 10 % des filles handicapés atteignent ces recommandations.
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60 Millions de Piétons